Cr\u00e9dits\u00a0: Flickr<\/figcaption><\/figure>\n
Cela fait maintenant plusieurs mois que la France a d\u00e9clar\u00e9 la guerre aux sites pornographiques. Avec la loi contre les violences conjugales vot\u00e9e en 2020, le gouvernement a ajout\u00e9 un d\u00e9cret visant \u00e0 prot\u00e9ger les mineurs contre les contenus pour adulte<\/strong>. Les sites concern\u00e9s, qui avaient pour habitude de \u00ab\u2009barrer la route\u2009\u00bb par une simple demande de confirmation de l\u2019\u00e2ge, doivent d\u00e9sormais trouver un autre moyen plus efficace, sous peine d\u2019\u00eatre sanctionn\u00e9s par le CSA<\/a>.<\/p>\n
Si la mise en vigueur du d\u00e9cret date de l\u2019ann\u00e9e derni\u00e8re, le gouvernement imagine le dispositif depuis 2019. C\u2019est ce que r\u00e9v\u00e8le la publication d\u2019un rapport initialement confidentiel de l\u2019Inspection g\u00e9n\u00e9rale des finances (IGF) et du Conseil g\u00e9n\u00e9ral de l\u2019\u00e9conomie (CGE). Dans ce dernier, de nombreuses pistes sont explor\u00e9es, dont celle qui finira par nommer le CSA gendarme des sites pornos<\/strong>. Sans pour autant \u00eatre aussi s\u00e9v\u00e8re qu\u2019aujourd\u2019hui.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet\u00a0: Pornhub, Xvideos, TuKif \u2014 les sites pornos refusent de se plier \u00e0 la loi, voici pourquoi<\/a><\/strong><\/p>\n