Cr\u00e9dits\u00a0: Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Le piratage a toujours \u00e9t\u00e9 une sacr\u00e9e \u00e9pine dans le pied des ayants droit. Bon nombre de tentatives ont vu le jour, avec, pour la plupart, des r\u00e9sultats mitig\u00e9s<\/strong>. Face \u00e0 la relative inefficacit\u00e9 des gouvernements sur ce sujet, les entreprises tentent depuis quelques ann\u00e9es de prendre les choses en main. En 2019, notamment, les grands noms du streaming se sont alli\u00e9s pour d\u00e9finir le partage de compte comme similaire au t\u00e9l\u00e9chargement ill\u00e9gal<\/a>.<\/p>\n
Une alliance similaire verra bient\u00f4t le jour d\u2019ici avril 2022. Baptis\u00e9e International Anti-Piracy Organization (IAPO)<\/strong>, cet organisme aura en premier lieu pour but de lutter contre le piratage de mangas et d\u2019animes, qui a significativement gagn\u00e9 en popularit\u00e9 ces derni\u00e8res ann\u00e9es. Il sera en majeure partie compos\u00e9 du groupe japonais Content Overseas Distribution Association (CODA), repr\u00e9sentant 32\u00a0entreprises dont Aniplex, Kadokawa ou encore Kodansha<\/strong>.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet\u00a0: La France adopte une nouvelle loi contre le piratage, adieu les sites d\u2019IPTV\u2009?<\/a><\/strong><\/p>\n