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Il y a eu les baby-boomers, la g\u00e9n\u00e9ration X, Y, puis la g\u00e9n\u00e9ration Z. D\u00e9sormais, il faut faire place \u00e0 la g\u00e9n\u00e9ration Alpha, soit les enfants n\u00e9s \u00e0 partir de 2010. Comme le pr\u00e9cisait Mark McCrindle, chercheur en sciences sociales en Australie, dans les colonnes du New York Times, “cette g\u00e9n\u00e9ration sera la plus instruite, la plus connect\u00e9e et, globalement, la plus riche de tous les temps”. <\/em><\/p>\n
D'apr\u00e8s le sp\u00e9cialiste, ce qui d\u00e9finit avant tout cette g\u00e9n\u00e9ration, c'est son rapport avec la technologie<\/strong>. \u00c0 leur naissance en 2010, Apple venait de lancer l'iPad, Instagram<\/a> faisait ses d\u00e9buts, et le terme appli \u00e9tait d\u00e9clar\u00e9 mot de l'ann\u00e9e. “Ils constituent la g\u00e9n\u00e9ration la plus mat\u00e9riellement riche et la mieux inform\u00e9e sur le plan technologique \u00e0 n'avoir jamais honor\u00e9 la plan\u00e8te”, <\/em>assure le chercheur.<\/p>\n