Apr\u00e8s avoir banni Huawei, les \u00c9tats-Unis souhaiteraient cette fois s\u2019en prendre \u00e0 Honor, l\u2019ancienne filiale du g\u00e9ant chinois. Pourtant, Honor n'appartient plus \u00e0 Huawei, puisque celui-ci l\u2019a c\u00e9d\u00e9 il y a pr\u00e8s d\u2019un an.<\/strong><\/p>\n
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Neuf mois apr\u00e8s que Huawei a vendu sa filiale de smartphones Honor en raison d'une pression “\u00e9norme” sur la cha\u00eene d'approvisionnement, les l\u00e9gislateurs r\u00e9publicains aux \u00c9tats-Unis cherchent d\u00e9sormais \u00e0 s\u2019attaquer \u00e0 Honor.<\/strong><\/p>\n
Honor a appartenu \u00e0 Huawei jusqu'en novembre 2020<\/strong> et \u00e9tait donc directement concern\u00e9 par l'embargo commercial am\u00e9ricain. Cependant, Huawei avait fini par vendre sa filiale \u00e0 un consortium nouvellement form\u00e9<\/a> pour un montant de 12,8 milliards de dollars<\/strong>.<\/p>\n