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Les jeux vid\u00e9o sont en passe de devenir des objets d\u2019art comme les autres. Ces derniers temps, l\u2019int\u00e9r\u00eat pour les titres r\u00e9tro, sous leur forme d\u2019origine, a atteint des sommets<\/strong>. Sans surprise, ce sont surtout les titres iconiques qui s\u2019arrachent \u00e0 des sommes astronomiques. Ainsi, en avril dernier, une cartouche du premier Super Mario Bros sur NES s\u2019est vendue \u00e0 560\u2009000\u00a0euros<\/a>. Au d\u00e9but de cet \u00e9t\u00e9, une cartouche de The Legend of Zelda a co\u00fbt\u00e9 746\u2009500\u00a0euros \u00e0 son nouveau propri\u00e9taire. Peu de temps apr\u00e8s, c\u2019\u00e9tait au tour de Super Mario\u00a064 d\u2019\u00e9tablir un nouveau record \u00e0 1,3\u00a0million d\u2019euros<\/a>.<\/p>\n
\u00c0 ce rythme, c\u2019est donc quasiment tous les mois que le march\u00e9 du r\u00e9tro gaming repousse les limites des ventes aux ench\u00e8res. Une tendance qui se confirme une nouvelle fois avec une vente \u00e0 2\u00a0millions de dollars, 1,7\u00a0million d\u2019euros<\/strong> pour, l\u00e0 encore, le tout premier Super Mario Bros. \u00c0 ce prix, l\u2019acheteur repart avec une cartouche jamais ouverte, condition quasi sine qua non<\/em> \u00e0 ce type de vente. L\u2019ench\u00e8re a eu lieu sur Rally, un site sp\u00e9cialis\u00e9 dans la commercialisation d\u2019objets de collection.<\/p>\n