Cr\u00e9dits : Pexels<\/figcaption><\/figure>\n
Le constat est inqui\u00e9tant. Hier, le m\u00e9dia Forbidden Stories a r\u00e9v\u00e9l\u00e9 au grand jour le plus gros r\u00e9seau d\u2019espionnage gouvernemental depuis l\u2019affaire Snowden<\/strong>. Au total, ce sont plus de 50\u2009000\u00a0num\u00e9ros de t\u00e9l\u00e9phone qui sont compromis, et ceux \u00e0 partir d\u2019un seul Spyware. Si ce genre de pratique est malheureusement courante, c\u2019est un tout autre stade de gravit\u00e9 qui est atteint dans ce cas pr\u00e9cis, et ce, pour deux raisons.<\/p>\n
La premi\u00e8re, comme dit plus haut, est parce qu\u2019elle a \u00e9t\u00e9 perp\u00e9tu\u00e9e par diff\u00e9rents gouvernements \u00e0 travers le monde. La seconde, c\u2019est que, contrairement au scandale ayant impliqu\u00e9 la NSA, le spyware a cibl\u00e9 tout particuli\u00e8rement une population bien pr\u00e9cise : les journalistes<\/strong>. C\u2019est ainsi tout le concept de libert\u00e9 de la presse qui est remise en cause dans plusieurs pays. Voici tout ce que l\u2019on sait \u00e0 l\u2019heure actuelle.<\/p>\n