Jusqu'\u00e0 pr\u00e9sent, la l\u00e9gislation n'\u00e9tait pas tr\u00e8s claire quand il s'agissait de r\u00e9primer celles et ceux qui d\u00e9brident leur v\u00e9lo \u00e0 assistance \u00e9lectrique. Depuis peu, le code de la route a tranch\u00e9 : une telle alt\u00e9ration de son VAE est d\u00e9sormais passible d'une lourde amende, ainsi que d'une peine de prison.<\/strong><\/p>\n
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La plupart des VAE<\/strong> (V\u00e9lo \u00e0 Assistance \u00c9lectrique) voit aujourd'hui leur vitesse limit\u00e9e \u00e0 25 km\/h<\/strong>. N\u00e9anmoins, certains n'h\u00e9sitent pas \u00e0 pousser cette limitation \u00e0 l'aide d'un petit kit de d\u00e9bridage, afin d'atteindre les 40 km\/h ou au-del\u00e0. Si la pratique est ill\u00e9gale, surtout si le contrevenant du v\u00e9lo \u00e9lectrique ne poss\u00e8de aucune assurance<\/a>, le texte de loi n'\u00e9tait pas clair et les sanctions n'\u00e9taient pas v\u00e9ritablement dissuasives.<\/p>\n