Une \u00e9quipe de chercheurs de l\u2019Universit\u00e9 de Rice, au Texas, ont mis au point une nouvelle m\u00e9thode pour produire du graph\u00e8ne, un mat\u00e9riau qui semble vou\u00e9 \u00e0 un bel avenir industriel, \u00e0 partir de d\u00e9chets comme des peaux de banane, des pneus ou des chutes de bois. Cette m\u00e9thode, peu couteuse, est non seulement respectueuse de l\u2019environnement, mais elle est \u00e9galement tr\u00e8s \u00e9cologique puisqu\u2019elle permet de r\u00e9duire l\u2019\u00e9mission de gaz \u00e0 effet de serre.<\/strong><\/p>\n
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Nous parlons r\u00e9guli\u00e8rement dans nos colonnes du graph\u00e8ne. C\u2019est un mat\u00e9riau \u00e0 l\u2019\u00e9tat solide qui offre de bonnes propri\u00e9t\u00e9s pour le stockage d\u2019\u00e9nergie<\/strong>. Que ce soit pour des batteries de smartphones, de produits \u00e9lectroniques nomades ou de v\u00e9hicules \u00e9lectriques, le graph\u00e8ne pourrait changer leur autonomie. Cependant, jusqu\u2019\u00e0 pr\u00e9sent, la m\u00e9thode de fabrication du graph\u00e8ne de bonne qualit\u00e9 semblait \u00eatre couteuse. Mais une d\u00e9couverte scientifique, d\u00e9taill\u00e9e dans le magazine anglo-saxon Nature, semble r\u00e9gler ce probl\u00e8me.<\/p>\n