LA cabine du taxi volant \/ Cr\u00e9dits : Hyundai<\/figcaption><\/figure>\n
Blade Runner<\/em>, Retour vers le Futur<\/em>,\u00a0Total Recall<\/em>,\u00a0Le 5e \u00e9l\u00e9ment<\/em>… dans un futur fantasm\u00e9, au tournant des ann\u00e9es 2000, les voitures et taxis volants font partie du paysage urbain. Pourtant, en ce d\u00e9but d'ann\u00e9e 2020, ce genre d'a\u00e9ronef n'existe toujours pas. Non pas que l'id\u00e9e fasse partie des milliers d'autres id\u00e9es n'ayant jamais trouv\u00e9 d'application pratique, en tout cas comme ses concepteurs l'avaient esp\u00e9r\u00e9.<\/p>\n
Tout est l\u00e0… ou presque. La voiture volante individuelle existe. Ou plut\u00f4t a exist\u00e9 \u00e0 plusieurs occasions, avant des d\u00e9veloppements beaucoup plus r\u00e9cents. D\u00e8s 2013, on peut parler du constructeur Terrafugia qui a lanc\u00e9 le Transition – qui co\u00fbte pr\u00e8s de 300 000 dollars, soit le prix d'un appartement relativement bien situ\u00e9 \u00e0 Paris. Le v\u00e9hicule passe de la voiture au mode avion avec un m\u00e9canisme compliqu\u00e9 qui d\u00e9plie ses ailes et les verrouille en place.<\/p>\n
Il d\u00e9colle sur une piste, et on a donc du mal \u00e0 l'imaginer en centre-ville. D'autant que les livraisons du v\u00e9hicule se font encore attendre. Une piste plus int\u00e9ressante ce sont les appareils dits VTOL (vertical take-off and landing<\/em>) qui peuvent d\u00e9coller et atterrir verticalement, sans piste. Mais pour l'instant, les acteurs du secteurs, pour l'essentiel de petites startups, tardent \u00e0 pr\u00e9senter quelque prototype fonctionnel que ce soit.<\/p>\n