Pour fixer les primes d'assurance, les assureurs se basent sur plusieurs crit\u00e8res pour \u00e9valuer leurs risques. Certaines soci\u00e9t\u00e9s d'assurance se baseraient \u00e9galement sur les publications des souscripteurs sur les r\u00e9seaux sociaux comme Facebook et Instagram pour \u00e9tablir le \u00ab profil \u00bb de l'assur\u00e9.<\/strong><\/p>\n
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Les r\u00e9seaux sociaux sont d\u00e9sormais une arme au service des soci\u00e9t\u00e9s d'assurance. Et ce, de diverses mani\u00e8res. Facebook, Instagram<\/strong> et autres sont d\u00e9j\u00e0 exploit\u00e9s pour d\u00e9masquer les fraudes \u00e0 l'assurance. Et comme l'explique le Wall Street Journal<\/a> dans l'une de ses publications du 18 mars, l'\u00c9tat de New York est devenu le premier \u00e0 fournir des conseils sur l'utilisation des r\u00e9seaux sociaux pour \u00e9valuer les risques<\/strong> que repr\u00e9sente un souscripteur \u00e0 un produit d'assurance. Une l\u00e9gislation en la mati\u00e8re est \u00e9tendue pour bient\u00f4t histoire d'\u00e9viter les d\u00e9rives, car cette pratique serait d\u00e9j\u00e0 bien r\u00e9pandue chez les assureurs.<\/p>\n