WhatsApp est gangren\u00e9 par une dizaine de groupes priv\u00e9s d\u00e9di\u00e9s \u00e0 l'\u00e9change de photos et de vid\u00e9os p\u00e9dopornographiques, r\u00e9v\u00e8le une \u00e9tude isra\u00e9lienne. Selon les chercheurs, l'application de messagerie instantan\u00e9e manque cruellement de mod\u00e9rateurs humains pour endiguer la propagation de ces images.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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D'apr\u00e8s un rapport de deux ONG isra\u00e9liennes, relay\u00e9 par nos confr\u00e8res de TechCrunch<\/a>, des applications tierces utilisent les groupes WhatsApp pour \u00e9changer des images \u00e0 caract\u00e8re p\u00e9dopornographique<\/strong>. Apr\u00e8s enqu\u00eate, TechCrunch assure que les groupes incrimin\u00e9s sont malheureusement toujours actifs.<\/p>\n