Depuis le d\u00e9but de la t\u00e9l\u00e9phonie mobile et encore aujourd'hui, les op\u00e9rateurs d\u00e9tiennent le monopole de la carte SIM. L'an dernier, Apple avait essay\u00e9 d'imposer sa propre carte SIM avec l'iPad Air 2 mais seulement quelques op\u00e9rateurs am\u00e9ricains, britanniques et australiens avaient accept\u00e9 d'utiliser la solution propos\u00e9e par la pomme.<\/p>\n
Dans le cas de l'eSIM, ce sera nettement diff\u00e9rent puisque la puce sera soud\u00e9e \u00e0 l'appareil et compatible avec\u00a0tous les op\u00e9rateurs<\/strong> qui devront donc s'adapter. Toutefois, son impl\u00e9mentation sur le march\u00e9 d\u00e9pendra, quoi qu'il arrive de leur\u00a0bon vouloir. Une r\u00e9cente citation d'Etienne Costes du cabinet Ernst & Young r\u00e9sume d'ailleurs assez bien la situation\u00a0:<\/p>\n