Que doit-on vraiment penser de l'\u00e9mission Cash Investigation et de son reportage sur les conditions de travail dans les centres d'appels de Free ? Depuis sa diffusion, une vive pol\u00e9mique secoue l'op\u00e9rateur… A tel point qu'un ancien d\u00e9l\u00e9gu\u00e9 syndical a d'ailleurs tenu \u00e0 d\u00e9fendre bec et ongle Free dans une lettre ill\u00e9gitime publi\u00e9e hier. C'est aujourd'hui au tour de la soci\u00e9t\u00e9 de production de Cash Investigation de r\u00e9pondre !\u00a0<\/strong><\/p>\n
Accus\u00e9 d'avoir trafiqu\u00e9 la r\u00e9alit\u00e9 du reportage dans une lettre ouverte des repr\u00e9sentants du personnel de Free<\/a>, Cash Investigation n'a pas tard\u00e9, \u00e0 son tour, \u00e0 s'expliquer.\u00a0Romain Verley, r\u00e9dacteur en chef adjoint de Premi\u00e8res Lignes, la soci\u00e9t\u00e9 de production derri\u00e8re Cash Investigation, a fourni quelques \u00e9l\u00e9ments de r\u00e9ponse pour l\u00e9gitimer le constat tir\u00e9 par l'\u00e9mission d'Elise Lucet<\/a>. Qu'est-ce que cette nouvelle d\u00e9claration nous renseigne sur les dessous du documentaire ?<\/p>\n