La demande rattrape l'offre. On s'en est tr\u00e8s bien sortis pendant des ann\u00e9es, mais on arrive au point o\u00f9 on ne peut pas continuer pour toujours. – Andrew Ellis, chercheur \u00e0 l'Universit\u00e9 Aston de Birmingham –<\/p><\/blockquote>\n
Selon les chercheurs, la raison de la fin d'internet d'ici 2023 serait l'augmentation spectaculaire du volume de donn\u00e9es \u00e9chang\u00e9es<\/strong>. Avec l'essor des smartphones, tablettes, des t\u00e9l\u00e9visions connect\u00e9es, des objets connect\u00e9s ainsi que la multiplication des services de vid\u00e9os, le transport des donn\u00e9es pourrait devenir impossible et la consommation \u00e9lectrique insoutenable.<\/p>\n
Selon Andrew Ellis, “nous allons arriver \u00e0 court d'\u00e9nergie dans une quinzaine d'ann\u00e9es”<\/em>. Il est vrai que l'\u00e9mergence du cloud computing, la sauvegarde des donn\u00e9es des utilisateurs en ligne, a fait exploser le nombre de datacenters. Selon l'Institut d'Am\u00e9nagement et d'urbanisme d'Ile-de-France, certaines zones de la r\u00e9gion sont “au bord de la saturation”<\/em> en terme de consommation \u00e9lectrique.<\/p>\n
25% de l'augmentation des besoins en \u00e9nergie li\u00e9e au Grand Paris sont imputables \u00e0 ces datacenters selon la direction r\u00e9gionale et interd\u00e9partementale de l'environnementet de l'\u00e9nergie.<\/p>\n
Evidemment, une telle th\u00e9orie a d\u00e9j\u00e0 fait r\u00e9agir les plus fervents d\u00e9fenseurs d'internet.<\/strong> Il y a ceux qui qualifient cette \u00e9tude d'alarmiste et d'autres qui parlent de l'\u00e9ternel mythe de l'effondrement d'internet. Pour beaucoup, en tout cas toute cette th\u00e9orie\u00a0a \u00e9t\u00e9 largement amplifi\u00e9e et d\u00e9form\u00e9e.<\/p>\n
