Le chercheur en s\u00e9curit\u00e9, \u00e0 l\u2019origine du post sur le blog d\u2019Avast, d\u00e9crit avec pr\u00e9cision les risques encourus \u00e0 cause de ce malware. Un million d\u2019utilisateurs pourraient \u00eatre touch\u00e9s selon lui, ce qui n\u2019est pas un \u00e9chantillon non plus.<\/p>\n
Ce n\u2019est pas la premi\u00e8re fois que Google doit faire face \u00e0 ce genre de probl\u00e8me de s\u00e9curit\u00e9. Il y a trois ans, la firme avait d\u00e9j\u00e0 mis en place une sorte de scanner d\u2019applications pouvant diffuser des malwares, mais les auteurs d\u2019attaques ont rapidement trouv\u00e9 une astuce.<\/p>\n
La seule solution pour \u00e9viter ce genre de d\u00e9boire est habituellement de privil\u00e9gier les applications t\u00e9l\u00e9charg\u00e9es par un nombre important d\u2019utilisateurs<\/strong>. Cette fois-ci \u00e7a, cette strat\u00e9gie n\u2019a pas fonctionn\u00e9.<\/p>\n