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La surveillance des travailleurs \u00e0 distance<\/strong> est devenue une pratique courante pour de nombreuses entreprises<\/strong>, en particulier depuis l\u2019essor du t\u00e9l\u00e9travail<\/strong>. Des outils<\/strong> comme WebWork Tracker<\/strong> permettent aux employeurs de suivre les activit\u00e9s de leurs salari\u00e9s<\/strong> en prenant des captures<\/strong> r\u00e9guli\u00e8res de leur \u00e9cran<\/strong>. Cette surveillance n\u2019est pas sans abus : aux \u00c9tats-Unis, certains salari\u00e9s ont utilis\u00e9 des dispositifs pour simuler leur activit\u00e9 en t\u00e9l\u00e9travail, ce qui leur a valu des licenciements<\/a>.<\/p>\n
Les travailleurs \u00e0 distance sont \u00e9galement pris pour cible par des escrocs<\/a> proposant de fausses offres d\u2019emploi en ligne. Mais ce n\u2019est pas tout, r\u00e9cemment, un chercheur en cybers\u00e9curit\u00e9 a d\u00e9couvert qu\u2019un espace de stockage en ligne d\u2019Amazon S3<\/strong>, utilis\u00e9 par l\u2019application WebWork Tracker, avait \u00e9t\u00e9 mal configur\u00e9<\/strong>. R\u00e9sultat : plus de 13 millions de captures d\u2019\u00e9cran<\/strong>, comprenant des informations sensibles<\/strong> comme des identifiants, des donn\u00e9es clients et des cl\u00e9s API, \u00e9taient accessibles publiquement<\/strong>.<\/p>\n