La lutte<\/strong> contre le piratage en ligne<\/strong> n\u2019a jamais \u00e9t\u00e9 aussi intense. En 2024, l\u2019Italie a d\u00e9ploy\u00e9 le Piracy Shield<\/a>, capable de bloquer des milliers de flux IPTV ill\u00e9gaux en quelques clics. Cette initiative a cibl\u00e9 plus de 17 500 noms de domaine et pr\u00e8s de 7 000 adresses IP, principalement en Europe<\/a>. Au Royaume-Uni<\/strong>, les autorit\u00e9s adoptent une approche diff\u00e9rente : sanctionner s\u00e9v\u00e8rement<\/strong> les individus impliqu\u00e9<\/strong>s dans ce march\u00e9 lucratif. Ces mesures visent \u00e0 d\u00e9courager les revendeurs<\/strong> de mat\u00e9riel pirate<\/strong> et \u00e0 prot\u00e9ger les plateformes l\u00e9gales comme Netflix ou Sky.<\/p>\n
Derni\u00e8rement, le tribunal de York a condamn\u00e9 Sunny Kanda, un habitant de Halifax, \u00e0 deux ans de prison<\/strong>. L\u2019homme de 41 ans vendait des Fire Sticks modifi\u00e9s<\/strong>, des cl\u00e9s HDMI populaires qui transforment<\/strong> n\u2019importe quel t\u00e9l\u00e9viseur en une Smart TV<\/strong>. Gr\u00e2ce \u00e0 des modifications logicielles, ces appareils donnaient acc\u00e8s \u00e0 des flux IPTV<\/a> ill\u00e9gaux diffusant des cha\u00eenes payantes comme celles de Sky, Netflix ou Disney+. En seulement 18 mois, l\u2019op\u00e9ration lui aurait rapport\u00e9<\/strong> pr\u00e8s de 108 000 livres sterling, soit environ 125 000 euros<\/strong>.<\/p>\n
