Pour mettre fin aux activit\u00e9s des sites pirates de streaming ou de t\u00e9l\u00e9chargement ill\u00e9gaux, les autorit\u00e9s ont de nombreux leviers pour parvenir \u00e0 leur fin. Le d\u00e9f\u00e9rencement dans les moteurs de recherche<\/strong> reste une m\u00e9thode particuli\u00e8rement appr\u00e9ci\u00e9e pour son efficacit\u00e9.<\/p>\n
Pour vous donner un ordre d'id\u00e9e, Google a supprim\u00e9 en 10 ans pr\u00e8s de 10 milliards de liens<\/a> vers des sites pirates. S'attaquer directement aux noms de domaine peut s'av\u00e9rer tout aussi efficace. En octobre dernier, Amazon a par exemple saisi de nombreux domaines<\/a> utilis\u00e9s par le collectif de hackers russes APT29.<\/p>\n
Retirer un nom de domaine est en r\u00e9alit\u00e9 le moyen le plus simple et le plus rapide pour nuire \u00e0 un site pirate. Seulement, les registres de noms de domaine rechignent parfois \u00e0 agir,<\/strong> et ce afin de pr\u00e9server “un Internet libre, ouvert, s\u00fbr et s\u00e9curis\u00e9<\/em>“. C'est par exemple le cas du PIR (Public Interest Registry), en charge du nom de domaine .org, qui a syst\u00e9matiquement refus\u00e9 de prendre des mesures contre The Pirate Bay<\/a> pour ce motif.<\/p>\n
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