Mine de rien, la date limite de construction de la future colonie humaine sur la Lune<\/a> approche. En 2026, l'Homme foulera de nouveau le sol du satellite de la Terre via la mission Artemis 3<\/strong>, mais ce ne sera que le d\u00e9but. Gr\u00e2ce \u00e0 de nombreuses recherches, nous savons que la vie lunaire est de l'ordre du possible. L'astre regorge d'eau<\/a>, on pourra y faire pousser des plantes \u00e0 l'aide de microbes<\/a> et m\u00eame \u00e9lever des poissons qui finiront dans les assiettes des habitants<\/a>.<\/p>\n
Il faudra bien s\u00fbr de nombreuses infrastructures pour rendre la Lune vraiment habitable. On sait d\u00e9j\u00e0 que fabriquer des routes n\u00e9cessitera de la poussi\u00e8re et une loupe g\u00e9ante<\/a>. En revanche, b\u00e2tir des maisons<\/strong>, des boucliers anti-radiations<\/strong> ou des entrep\u00f4ts<\/strong> est une t\u00e2che plus complexe. Faire venir du b\u00e9ton depuis la Terre ? Il faut compter environ 1,1 million d'euros pour en importer 1 kg<\/strong>. C'est bien trop cher. L'\u00e9quipe men\u00e9e par Ali Kazemian, chercheur en construction robotique \u00e0 l'Universit\u00e9 d'\u00c9tat de Louisiane, a trouv\u00e9 la solution.<\/p>\n
