L'\u00e9cran Samsung Odyssey OLED G8, pour illustration<\/figcaption><\/figure>\n
Les joueurs PC savent que la puissance de leur ordinateur ne fait pas tout. Sans un \u00e9cran<\/strong> capable de d\u00e9livrer le rendu le plus net et le plus fluide possible, poss\u00e9der une machine de guerre ne sert \u00e0 rien. Parmi les crit\u00e8res les plus importants, il y a la d\u00e9finition<\/strong> bien s\u00fbr, le temps de latence<\/strong> \u00e9galement, mais aussi le taux de rafra\u00eechissement<\/strong>. Exprim\u00e9 en Hertz<\/strong>, c'est lui qui d\u00e9finit le nombre maximal d'images affich\u00e9 par le moniteur en une seconde<\/strong>. Un \u00e9cran 75 Hz peut donc d\u00e9livrer au mieux 75 images par seconde.<\/p>\n
En toute logique, plus ce nombre est \u00e9lev\u00e9, plus l'image sera fluide. C'est donc une composante importante, surtout pour celles et ceux qui s'adonnent aux jeux comp\u00e9titifs. Aujourd'hui, un taux de 144 Hz pour une d\u00e9finition de 1440p<\/strong> n'est pas rare. Le record est bien sup\u00e9rieur cela dit : 1000 Hz pour un prototype de TCL<\/a>, rien que \u00e7a. En attendant qu'il se concr\u00e9tise, Samsung aurait r\u00e9ussi un exploit technique : un \u00e9cran PC QD-OLED (Quantum Dot) 2560 x 1440 pixels avec un rafra\u00eechissement de 500 Hz<\/strong>.<\/p>\n