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Plus de 3 milliards d'utilisateurs actifs<\/strong> chaque mois. C'est le nombre vertigineux qu'affiche le r\u00e9seau social Facebook<\/strong>, toujours en t\u00eate du classement des plateformes de ce genre malgr\u00e9 ses 20 ans d'existence. Avec autant de personnes inscrites, on imagine tr\u00e8s bien pourquoi le site est une cible de choix pour les pirates en tout genre. Il est une v\u00e9ritable mine d'or en mati\u00e8re d'informations personnelles<\/strong> : nom, pr\u00e9nom, num\u00e9ro de t\u00e9l\u00e9phone, adresse postale, photos…<\/p>\n
Quand une fuite survient, elle fait forc\u00e9ment tr\u00e8s mal. En 2019, pr\u00e8s de 420 millions de num\u00e9ros de t\u00e9l\u00e9phone se retrouvent dans la nature<\/a>. M\u00eame chose 2 ans plus tard, mais cette fois-ci le total de victimes augmente. On d\u00e9passe les 530 millions, dont 20 millions de fran\u00e7ais<\/a>. Suite \u00e0 \u00e0 cela, plusieurs personnes assignent le r\u00e9seau social en justice pour demander un d\u00e9dommagement. En Allemagne, un tribunal vient de prononcer un verdict en faveur du plaignant et les cons\u00e9quences sont potentiellement \u00e9normes.<\/p>\n