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Imaginez que vous faites partie des forces de l'ordre. Vous recevez un appel d'une personne expliquant qu'elle est arm\u00e9e, qu'elle vient de tuer sa femme et de prendre ses enfants en otage. En toute logique, vous vous rendez sur place avec une \u00e9quipe arm\u00e9e le plus vite possible. Sauf qu'une fois arriv\u00e9, apr\u00e8s avoir d\u00e9fonc\u00e9 la porte et fait sortir les \u00e9ventuels occupants, vous vous rendez compte que tout \u00e9tait faux. Les autorit\u00e9s comme les habitants du domicile ont \u00e9t\u00e9 victimes de swatting<\/strong>.<\/p>\n
Cette pratique qui consiste \u00e0 faire intervenir la police sous un faux pr\u00e9texte<\/strong> est malheureusement courante aux \u00c9tats-Unis. Des streamers<\/strong> en sont souvent victimes vu que “l'action” sera film\u00e9e, mais ce ne sont pas les seuls. \u00c9tablissements scolaires, religieux, personnalit\u00e9s politiques… Ce ne sont pas les cibles qui manquent. Certains font carr\u00e9ment du swatting leur source principale de revenus<\/strong>, \u00e0 l'instar d'Alan Filion<\/strong>, 18 ans et “swatter en s\u00e9rie”.<\/p>\n