M\u00eame si nous avons coutume de dire que la lutte contre les sites de streaming ill\u00e9gal<\/strong> est sans fin, cela ne veut pas dire que les ayants droit \u00e9chouent dans toutes leurs batailles. On ne compte plus les plateformes qui mettent la cl\u00e9 sous la porte alors qu'elles affichaient des dizaines de millions de vues chaque mois<\/strong>. Certes, il ne faut pas longtemps avant que des clones prennent le relai, mais cela a ind\u00e9niablement un impact important sur la sc\u00e8ne pirate.<\/p>\n
L'\u00e9t\u00e9 dernier, FMovies, qui engrangeait plus de trafic que Disney+ aux \u00c9tats-Unis<\/a>, tire sa r\u00e9v\u00e9rence apr\u00e8s des ann\u00e9es d'enqu\u00eate. Lorsque sa chute est annonc\u00e9e, les autorit\u00e9s pr\u00e9cisent qu'elles ont identifier les individus charg\u00e9s de faire tourner le site<\/a>. L'information s'arr\u00eate l\u00e0 cependant. Quelques mois plus tard, la police de Hano\u00ef au Vietnam, o\u00f9 \u00e9tait bas\u00e9 FMovies, d\u00e9voilent deux noms, affirmant que les suspects sont pass\u00e9s aux aveux<\/strong>.<\/p>\n
