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Dans le monde du commerce en ligne<\/strong>, les grandes plateformes chinoises suscitent toujours des avis partag\u00e9s. On y trouve certes de tr\u00e8s nombreux produits aux tarifs d\u00e9fiant toute concurrence, mais en coulisse, il y a de nombreux probl\u00e8mes. Contrefa\u00e7ons<\/strong>, articles dangereux<\/strong>… Des aspects bien r\u00e9els qui ont par exemple abouti au d\u00e9r\u00e9f\u00e9rencement de Wish dans le moteur de recherche Google<\/a> en 2021. Aujourd'hui, d'autres sites ont pris le relais. Et parmi les plus connus, Temu<\/strong> n'est pas sans cr\u00e9er la pol\u00e9mique.<\/p>\n
Soup\u00e7onn\u00e9 d'arnaquer les acheteurs voire de les espionner<\/a>, l'e-commerce est surveill\u00e9 par l'Union europ\u00e9enne<\/strong> depuis quelques temps d\u00e9j\u00e0. Apr\u00e8s analyse, entre autres, des informations fournies par Temu suite aux demandes de l'UE, elle a d\u00e9cid\u00e9 d'ouvrir une enqu\u00eate officielle<\/a>. Le but est de v\u00e9rifier la conformit\u00e9 du site avec la loi sur les services num\u00e9riques (DSA)<\/a>, entr\u00e9e en vigueur fin ao\u00fbt 2023.<\/p>\n