Cr\u00e9dits : Adobe Stock<\/figcaption><\/figure>\n
\u00c0 l\u2019\u00e9poque des premiers t\u00e9l\u00e9phones portables<\/strong>, bien avant les smartphones et les forfaits tout illimit\u00e9s, les utilisateurs de mobiles se souviennent des claviers T9<\/strong>. Il fallait appuyer plusieurs fois sur les touches pour \u00e9crire un simple SMS, que l'on transmet maintenant par satellite<\/a>. Cela rendait l\u2019\u00e9criture abr\u00e9g\u00e9e quasi indispensable pour \u00e9conomiser chaque caract\u00e8re<\/strong>. Les Nokia de cette \u00e9poque, comme le c\u00e9l\u00e8bre 3310<\/a>, \u00e9taient partout, et le jeu Snake<\/a> \u00e9tait le passe-temps pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 de beaucoup. C\u2019\u00e9tait une autre \u00e9poque<\/strong>, o\u00f9 chaque fonction \u00e9tait plus simple… mais aussi plus limit\u00e9e.<\/p>\n
Au fil des ann\u00e9es, le fameux num\u00e9ro #123#<\/strong> d\u2019Orange est devenu un r\u00e9flexe pour les abonn\u00e9s. Il permettait de v\u00e9rifier rapidement son cr\u00e9dit<\/strong> restant et de conna\u00eetre la date de la prochaine remise \u00e0 z\u00e9ro. Pour ceux qui avaient une Mobicarte<\/strong> ou un forfait limit\u00e9<\/strong>, ce code court \u00e9tait une mani\u00e8re rapide de garder un \u0153il sur sa consommation. Mais d\u00e8s le mois de novembre 2024<\/strong>, ce dernier dispara\u00eetra<\/strong>, poussant les utilisateurs \u00e0 se tourner vers le num\u00e9ro 555<\/strong>, un service audio<\/strong>, ou vers les applications Orange et Mo<\/strong>i et MySosh<\/strong>.<\/p>\n