Il n'y a pas 36 solutions pour mettre fin au piratage<\/strong> des \u0153uvres prot\u00e9g\u00e9es par des droits d'auteurs. Tant que des sites les proposeront en t\u00e9l\u00e9chargement ou en streaming, il y aura toujours des gens pour s'y rendre. C'est pourquoi on entend si souvent parler de blocage <\/strong>des adresses Web incrimin\u00e9es. Une proc\u00e9dure bien plus facile \u00e0 annoncer qu'\u00e0 mettre en \u0153uvre tant les m\u00e9thodes de contournement sont nombreuses et \u00e0 la port\u00e9e de tous<\/a>.<\/p>\n
Et c'est sans tenir compte de tous les interm\u00e9diaires qui compliquent la t\u00e2che des ayants droit. M\u00eame si votre fournisseur d'acc\u00e8s \u00e0 Internet bannit des sites<\/a>, il suffit de changer ses DNS pour y acc\u00e9der \u00e0 nouveau. L'APAA<\/strong> (Audiovisual Anti-Piracy Alliance), qui regroupe entre autres le groupe Canal+<\/strong>, Altice<\/strong> et beIN SPORTS<\/strong> en est consciente.<\/p>\n
Elle propose quelque chose de radical dans son manifeste 2025-2029<\/a>. Le document d\u00e9taille ce que le groupe aimerait voir inscrit dans la loi du Vieux continent, notamment en accord avec le Digital Service Act entr\u00e9 en vigueur l'an dernier<\/a>.<\/p>\n
