Source : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
Le Full Self-Driving (FSD)<\/strong> de Tesla<\/strong> repr\u00e9sente la tentative de la marque pour offrir une conduite enti\u00e8rement autonome<\/strong>. Depuis plusieurs ann\u00e9es, Tesla am\u00e9liore cette fonctionnalit\u00e9 par des mises \u00e0 jour r\u00e9guli\u00e8res. R\u00e9cemment, la version 12.5<\/strong> a \u00e9t\u00e9 d\u00e9ploy\u00e9e aux \u00c9tats-Unis, et des tests ont montr\u00e9 des am\u00e9liorations notables, notamment en mati\u00e8re de confort de conduite. Alors que cette technologie pourrait bient\u00f4t arriver en Europe<\/a>, les premiers retours sont cruciaux pour \u00e9valuer son potentiel et ses limitations.<\/p>\n
Ce n\u2019est pas la premi\u00e8re fois que la version 12.5 du FSD est mise \u00e0 l'\u00e9preuve<\/a>. Un test pr\u00e9c\u00e9dent, r\u00e9alis\u00e9 sous la pluie en ao\u00fbt dernier, avait d\u00e9j\u00e0 r\u00e9v\u00e9l\u00e9 des faiblesses du syst\u00e8me, notamment des erreurs de navigation en conditions difficiles. Malgr\u00e9 cela, Tesla continue de peaufiner son logiciel<\/strong>, comme le montre un nouveau test<\/strong> effectu\u00e9 par un confr\u00e8re am\u00e9ricain, qui s'est int\u00e9ress\u00e9 \u00e0 la conduite sur route et autoroute.<\/p>\n