L'int\u00e9rieur de l'Hyperloop (concept) \/ Cr\u00e9dits : Hardt Hyperloop<\/figcaption><\/figure>\n
Remontons un peu le temps. En 2013, Elon Musk<\/strong>, d\u00e9j\u00e0 connu pour ses d\u00e9clarations coup de poing, annonce son intention de cr\u00e9er un train futuriste, l'Hyperloop<\/strong>. Voyageant dans un genre de tube, l'engin avance au-dessus des rails, sans les toucher, gr\u00e2ce \u00e0 la sustentation magn\u00e9tique<\/strong>.<\/p>\n
Une invention europ\u00e9enne dont l'utilisation a \u00e9t\u00e9 stopp\u00e9e net apr\u00e8s un accident ayant fait une quinzaine de morts en 2006 en Allemagne. Le milliardaire veut s'en servir pour, par exemple, relier Los Angeles \u00e0 San Francisco en 30 minutes<\/strong> (contre 10 heures environ).<\/p>\n
Le projet prend du retard et en 2022, Musk le prend en main pour acc\u00e9l\u00e9rer son d\u00e9veloppement<\/a>. Mais face aux \u00e9normes co\u00fbts financiers, le projet Virgin Hyperloop est totalement abandonn\u00e9<\/a> en d\u00e9cembre 2023. Du moins aux \u00c9tats-Unis.<\/p>\n
Sur le Vieux continent, l'id\u00e9e fait encore r\u00eaver et la startup n\u00e9erlandaise Hardt<\/strong> reprend le flambeau. Elle peut compter sur le soutien de l'Europe et surtout sur son centre d\u00e9di\u00e9 dans lequel se trouve un tunnel de 420 m\u00e8tres de long<\/strong>. Id\u00e9al pour les tests, dont celui qu'a r\u00e9ussi pour la premi\u00e8re fois le train du futur.<\/p>\n