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Another one bites the dust<\/strong>, dit la chanson (un autre mord la poussi\u00e8re dans la langue de Moli\u00e8re). On pourrait la jouer presque tous les jours en ce moment, avec la fermeture successive de plusieurs sites de streaming ill\u00e9gaux<\/strong>. Les associations d'ayants droit redoublent d'efforts et la lutte porte ses fruits : m\u00eame Fmovies, devant Disney+ en terme de trafic Internet aux \u00c9tats-Unis<\/a>, a finalement d\u00fb abdiquer face \u00e0 la pression<\/a>. Cette fois-ci, c'est une autre plateforme bien connue qui dit adieu \u00e0 ses utilisateurs.<\/p>\n
Contrairement \u00e0 Fmovies, il n'y a pas vraiment eu de signes avant-coureurs. Pas d'acc\u00e8s refus\u00e9 pendant quelques jours, pas d'absence de nouveaut\u00e9s… C'est bien simple : sur les 12 derniers mois, le service a enregistr\u00e9 120 millions de visites<\/strong>. 10 millions par mois. Pourtant, les utilisateurs ont r\u00e9cemment \u00e9t\u00e9 accueillis par un message laconique. “Le site est ferm\u00e9 pour de bon \u00e0 cause de <\/em>[requ\u00eates] DMCA. Merci \u00e0 tous pour votre soutien pendant tout ce temps !<\/em>“. Depuis, c'est le silence radio.<\/p>\n