Cr\u00e9dits : 123RF<\/figcaption><\/figure>\n
Si vous deviez citer quelques noms de r\u00e9seaux sociaux<\/strong>, l\u00e0, tout de suite, vous diriez spontan\u00e9ment Facebook<\/strong>, X (Twitter)<\/strong>, Instagram<\/strong>… Peut-\u00eatre Snapchat<\/strong> ou LinkedIN<\/strong> \u00e9galement. Mais ce serait oublier un pionnier, celui sans qui la plupart des plateformes cit\u00e9es n'auraient probablement pas le succ\u00e8s qu'on leur conna\u00eet aujourd'hui : MySpace<\/strong>.<\/p>\n
Attention, nous parlons d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas conna\u00eetre. En 2003, Tom Anderson<\/strong> cr\u00e9e le site avec dans l'id\u00e9e de proposer des pages Web sur lesquelles les groupes de musiques pourraient faire leur promotion.<\/p>\n
Rapidement, les utilisateurs affluent, plus pour \u00e9crire dans un blog personnel<\/strong> que pour poster leurs morceaux d'ailleurs. MySpace devient l'un des sites Web les plus visit\u00e9s au monde<\/strong> avant de s'\u00e9crouler sous le poids du mastodonte Facebook. Il existe encore cela dit, sauf qu'il est exclusivement centr\u00e9 sur la d\u00e9couverte musicale<\/a>. Mais si l'aspect graphique de l'\u00e9poque et les articles \u00e9crits en alternant majuscules et minuscules de toutes les couleurs vous manquent, sachez qu'il existe SpaceHey<\/strong>.<\/p>\n