Source : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
Le t\u00e9lescope spatial James-Webb<\/strong> (JWST) continue de repousser les fronti\u00e8res de notre compr\u00e9hension de l'univers. Con\u00e7u pour explorer les confins les plus lointains du cosmos, ce bijou de technologie a d\u00e9j\u00e0 r\u00e9v\u00e9l\u00e9 des merveilles telles que la galaxie spirale Messier 106, situ\u00e9e \u00e0 23 millions d'ann\u00e9es-lumi\u00e8re<\/a>, et l'exoplan\u00e8te LHS 1140 b, qui pourrait abriter un oc\u00e9an temp\u00e9r\u00e9<\/a>. Aujourd'hui, le JWST a d\u00e9tect\u00e9 six plan\u00e8tes g\u00e9antes<\/strong> flottant librement dans l'espace, une d\u00e9couverte qui pourrait bien bouleverser nos th\u00e9ories sur la formation des corps c\u00e9lestes<\/strong>.<\/p>\n
Ce qui rend cette d\u00e9couverte particuli\u00e8rement fascinante, c'est la mani\u00e8re dont ces plan\u00e8tes se sont form\u00e9es. Contrairement aux plan\u00e8tes traditionnelles qui naissent de l'accumulation de gaz et de poussi\u00e8res autour d'une \u00e9toile, ces astres errants semblent s'\u00eatre form\u00e9s diff\u00e9remment<\/strong>. Ils se seraient cr\u00e9\u00e9s par l'effondrement gravitationnel d'un nuage de gaz, \u00e0 l'image des \u00e9toiles. Ces corps c\u00e9lestes, dont la masse<\/strong> est comprise entre cinq et dix fois celle de Jupiter<\/strong>, brouillent les lignes entre ce qui constitue une plan\u00e8te g\u00e9ante et une naine brune.<\/p>\n