Une nouvelle marque est apparue dans les rayons virtuels d\u2019Amazon. Elle s\u2019appelle WUUM. Elle d\u00e9barque d\u2019Espagne. Et elle propose des smartphones tr\u00e8s abordables, un peu comme Wiko. Son cr\u00e9do : l\u2019achat cens\u00e9 plut\u00f4t que l\u2019achat impulsif, des produits solides qui durent dans le temps, plut\u00f4t que l\u2019obsolescence. Quels sont les moyens mis en \u0153uvre ? Est-ce qu\u2019on peut avoir confiance ? Phonandroid a enqu\u00eat\u00e9. Et voici ce qu\u2019on sait.<\/strong><\/p>\n
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Lancer une nouvelle marque de smartphones en Europe n\u2019est pas tr\u00e8s simple aujourd\u2019hui. Cela n\u00e9cessite un positionnement diff\u00e9rent, une tr\u00e8s bonne maitrise des r\u00e9seaux sociaux, un r\u00e9seau de distribution robuste, un service client de proximit\u00e9, un fabricant de bonne qualit\u00e9 pour r\u00e9duire le plus possible les retours. Sans oublier un bon apport en capital. Et nous oublions bien d\u2019autres choses encore.<\/p>\n
L\u2019un des derniers aventuriers \u00e0 avoir tent\u00e9 l\u2019aventure est Carl Pei, ancien cofondateur de OnePlus qui a cr\u00e9\u00e9 Nothing, puis CMF<\/a>. Chez Nothing, on y retrouve presque toutes les composantes d'un succ\u00e8s annonc\u00e9. Une bonne maitrise des r\u00e9seaux sociaux. Des produits qui tiennent la route. Et un positionnement diff\u00e9rent, notamment gr\u00e2ce au design. Le fameux Glyph du premier Nothing Phone<\/a> a marqu\u00e9 les esprits de nombreux journalistes.<\/p>\n