Cr\u00e9dits : Adobe Stock<\/figcaption><\/figure>\n
Comme vous le savez peut-\u00eatre, Nintendo ne plaisante pas quand il s'agit de prot\u00e9ger ses droits d'auteur et ses propri\u00e9t\u00e9s intellectuelles. Le constructeur nippon n'h\u00e9site pas une seule seconde \u00e0 entrer en croisade contre ceux qui exploitent ill\u00e9galement ses oeuvres. Ces derni\u00e8res ann\u00e9es, BigN a d'ailleurs remport\u00e9 des victoires significatives contre les pirates.<\/strong><\/p>\n
On se souvient de l'affaire Gary Bowser<\/a> par exemple. Ce pirate, qui \u00e9tait \u00e0 la t\u00eate du groupe Team Xecuter<\/a>, a commercialis\u00e9 durant des ann\u00e9es des jeux Switch hack\u00e9s. Apr\u00e8s un long proc\u00e8s, il a finalement \u00e9cop\u00e9 de plus de 3 ans de prison ferme<\/a> et d'une amende de 14,5 millions de dollars. En mars 2024, la firme nippone a ensuite gagn\u00e9 son bras de fer judiciaire contre Yuzu<\/a>, un c\u00e9l\u00e8bre \u00e9mulateur qui permettait de jouer \u00e0 des copies pirates de jeux Switch sur PC.<\/strong><\/p>\n
Tropical Haz, le d\u00e9veloppeur \u00e0 l'origine du logiciel, a finalement accept\u00e9 de payer 2,4 millions de dollars de dommages et int\u00e9r\u00eats<\/strong> au constructeur japonais. Elle s'est \u00e9galement engag\u00e9e \u00e0 ne plus d\u00e9velopper et distribuer Yuzu (y compris ses codes et ses fonctionnalit\u00e9s). Rappelons que c'est gr\u00e2ce \u00e0 Yuzu que de nombreux joueurs ont essay\u00e9 Zelda : Tears of The Kingdom avant sa sortie officielle<\/a>.<\/p>\n