Si les sites pirates<\/strong> ne cherchent pas forc\u00e9ment \u00e0 faire parler d'eux, les entit\u00e9s en charge de les faire fermer sont au contraire avides d'annoncer au monde le succ\u00e8s de leurs op\u00e9rations. On ne compte plus les d\u00e9clarations expliquant qu'un service d'IPTV parmi les plus connus au monde est finalement tomb\u00e9<\/a> suite aux actions coordonn\u00e9es des ayants droit et des autorit\u00e9s. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, le communiqu\u00e9 reste factuel, avec quelques phrases r\u00e9serv\u00e9es aux f\u00e9licitations des parties associ\u00e9es. Mais certains n'h\u00e9sitent pas \u00e0 faire dans le sensationnel<\/strong>.<\/p>\n
Parmi les diff\u00e9rents pays d'Europe, l'Italie est coutumier du fait. Il faut dire qu'elle est particuli\u00e8rement agressive quand il s'agit de mettre fin aux plateformes d'IPTV<\/a>. Souvenez-vous : sa police est all\u00e9e jusqu'\u00e0 rediriger l'ensemble du trafic Internet du territoire pour identifier les pirates<\/a>. M\u00eame enthousiasme lorsqu'elle a lanc\u00e9 son fameux bouclier anti-piratage cens\u00e9 tuer le piratage, mais dont le lancement a r\u00e2t\u00e9<\/a>. Dans ce contexte, on comprend mieux la derni\u00e8re d\u00e9claration de la Guardia di Finanza (GdF), sp\u00e9cialis\u00e9e dans cette lutte.<\/p>\n
