Ces derni\u00e8res ann\u00e9es, nous avons pu assister \u00e0 la mont\u00e9e des tensions entre certains pays et des entreprises \u00e9trang\u00e8res<\/strong>, sur fond de suspicions d'espionnage<\/strong>. L'exemple le plus connu est certainement le conflit qui oppose le constructeur chinois Huawei et le gouvernement am\u00e9ricain<\/a>. Le feuilleton a d\u00e9marr\u00e9 il y a plusieurs ann\u00e9es et on ne conna\u00eet pas encore sa fin. Mais ce n'est pas la seule soci\u00e9t\u00e9 dans le viseur des \u00c9tats-Unis.<\/p>\n
Si l'on vous dit Kaspersky<\/strong>, vous pensez s\u00fbrement \u00e0 l'antivirus<\/strong> qui porte le m\u00eame nom. Mais peut-\u00eatre ignorez-vous qu'il s'agit d'une entreprise russe accus\u00e9e de voler des donn\u00e9es confidentielles par le biais de ses logiciels<\/a>. En 2017 d\u00e9j\u00e0, l'arm\u00e9e fran\u00e7aise expliquait qu'elle n'utiliserait plus leur fameux programme de protection<\/a>. Finalement, un gouvernement s'est d\u00e9cid\u00e9 \u00e0 passer \u00e0 la vitesse sup\u00e9rieure et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas fait les choses \u00e0 moiti\u00e9.<\/p>\n
