D\u00e9tenteur d'un iPhone<\/strong> et habitant dans l'un des 27 pays de l'Union europ\u00e9enne<\/strong>, vous avez forc\u00e9ment remarqu\u00e9 que quelque chose a chang\u00e9 d\u00e9but mars 2024. La mise \u00e0 jour iOS 17.4 est arriv\u00e9e avec tout un tas de nouveaut\u00e9s<\/a> dont certaines auxquelles le reste du monde n'a pas eu droit. Et pour cause : elles sont l\u00e0 parce qu'Apple doit se conformer au Digital Markets Act<\/strong> (DMA), texte europ\u00e9en obligeant les grandes entreprises de la Tech a respecter plusieurs dispositions.<\/p>\n
C'est par exemple gr\u00e2ce au DMA qu'il est d\u00e9sormais possible d'installer un magasin d'applications autre que l'App Store sur son iPhone<\/a>. Une v\u00e9ritable r\u00e9volution pour un \u00e9cosyst\u00e8me qui a toujours farouchement prot\u00e9g\u00e9 son h\u00e9g\u00e9monie. Sauf qu'Apple ne voulait visiblement pas c\u00e9der aussi facilement. Avant m\u00eame l'application du DMA, la soci\u00e9t\u00e9 annonce l'introduction d'une taxe appel\u00e9e “core technology”<\/a>. Le principe est simple : pour toute installation d'une appli en dehors de l'App Store apr\u00e8s le premier million, le d\u00e9veloppeur devra payer 50 centimes d'euros. Une mani\u00e8re de faire qui pose visiblement probl\u00e8me.<\/p>\n
