Cr\u00e9dit : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
La soci\u00e9t\u00e9 FinalSpark all\u00e8gue que son processeur biologique peut effectuer des calculs et traiter des informations comme une puce traditionnelle, mais avec une fraction infime de l'\u00e9nergie n\u00e9cessaire.<\/strong> Le bioprocesseur unique de FinalSpark est construit autour de 16 organo\u00efdes de cerveau humain vivant, des amas de cellules c\u00e9r\u00e9brales de la taille d'un petit pois cultiv\u00e9es \u00e0 partir de cellules souches. Ces organo\u00efdes cultiv\u00e9s en laboratoire sont reli\u00e9s \u00e0 des \u00e9lectrodes pour cr\u00e9er ce que la soci\u00e9t\u00e9 appelle du \u00ab wetware \u00bb, un m\u00e9lange de mati\u00e8re biologique et de mat\u00e9riel informatique.<\/strong><\/p>\n
Selon FinalSpark, ce processeur organique consomme jusqu'\u00e0 un million de fois moins d'\u00e9nergie que les puces conventionnelles. \u00c0 titre d'exemple, la startup estime que l'entra\u00eenement d'un grand mod\u00e8le de langage comme le GPT-3 sur des processeurs traditionnels consomme environ 10 gigawattheures d'\u00e9lectricit\u00e9, soit plus de 6 000 fois plus d'\u00e9nergie que la consommation annuelle d'un m\u00e9nage europ\u00e9en moyen.<\/p>\n
Lire \u00e9galement<\/strong> – Scandale chez Intel : des milliers de tests de performances sur les processeurs seraient falsifi\u00e9s<\/a><\/p>\n