Gr\u00e2ce aux travaux d'une universit\u00e9, la construction d'une autoroute capable de charger les v\u00e9hicules \u00e9lectriques qui roulent dessus a commenc\u00e9. Un tron\u00e7on va servir de test grandeur nature.
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Ce n'est pas un secret : les v\u00e9hicules \u00e9lectriques<\/strong> (VE) sont de plus en plus pr\u00e9sents dans le parc automobile mondial. En France, leur essor est encourag\u00e9 par de nombreuses mesures, notamment la volont\u00e9 de proposer un maximum de bornes de recharge. En ville bien s\u00fbr, mais surtout sur les autoroutes<\/a> pour palier l'un des principaux d\u00e9fauts des VE actuels, leur autonomie<\/strong>. Aujourd'hui, 99 % des aires d'autoroute sont \u00e9quip\u00e9es de bornes de recharge rapide<\/strong> et des stations g\u00e9antes sont d\u00e9j\u00e0 dans les cartons<\/a>.<\/p>\n
L'id\u00e9al serait quand m\u00eame de recharger ses batteries en roulant gr\u00e2ce \u00e0 des autoroutes sp\u00e9cialement \u00e9quip\u00e9es<\/a>, ce que Vinci<\/strong> s'appr\u00eate \u00e0 tester chez nous. Finalement, ce sont les \u00c9tats-Unis qui auront la primeur mondiale du dispositif. Les \u00e9quipes de l'Universit\u00e9 Purdue dans l'Indiana annoncent<\/a> la construction d'un tron\u00e7on d'environ 400 m\u00e8tres<\/strong> \u00e0 l\u2019intersection des autoroutes 231 et 52. Il servira de test avant une prolongation \u00e9ventuelle et sera d'abord r\u00e9serv\u00e9 aux poids lourds \u00e9lectriques<\/strong>, comme ce qu'envisage Vinci en France.<\/p>\n