Nintendo tourne la vis face \u00e0 l\u2019\u00e9mulation<\/h2>\nLe proc\u00e8s a \u00e9t\u00e9 intent\u00e9 par Nintendo devant un tribunal f\u00e9d\u00e9ral de l'Arizona, o\u00f9 Tropic Haze LLC a son si\u00e8ge. Nintendo a accus\u00e9 Yuzu de violer le Digital Millennium Copyright Act (DMCA)<\/strong>, qui interdit de contourner les mesures technologiques qui contr\u00f4lent l'acc\u00e8s aux \u0153uvres prot\u00e9g\u00e9es par le droit d'auteur. Nintendo a \u00e9galement affirm\u00e9 que Yuzu portait atteinte \u00e0 ses marques et \u00e0 son habillage commercial, et qu'elle nuisait \u00e0 ses ventes et \u00e0 sa r\u00e9putation.<\/p>\n
Nintendo a all\u00e9gu\u00e9 que Yuzu utilisait des copies non autoris\u00e9es des cl\u00e9s cryptographiques de Nintendo, qui sont n\u00e9cessaires pour d\u00e9crypter et faire fonctionner les jeux Switch<\/strong>. Nintendo a fait valoir que Yuzu n'avait aucune utilisation l\u00e9gitime ou l\u00e9gale, et qu'il facilitait le piratage et la fuite du contenu des jeux avant leur sortie. Nintendo a \u00e9galement pr\u00e9sent\u00e9 des preuves que les d\u00e9veloppeurs de Yuzu \u00e9taient conscients du piratage et l'encourageaient, et qu'ils se vantaient d'\u00e9muler des jeux ayant fait l'objet d'une fuite sur leurs canaux de communication.<\/p>\n