Source : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
La question de l'exposition pr\u00e9coce des enfants<\/strong> au num\u00e9rique prend une ampleur critique, exacerb\u00e9e par des plateformes comme TikTok, qui, selon des r\u00e9v\u00e9lations r\u00e9centes, ne prendraient pas les mesures n\u00e9cessaires pour emp\u00eacher les inscriptions des moins de 13 ans<\/a>. Cette laxit\u00e9, observ\u00e9e m\u00eame face \u00e0 des amendes substantielles impos\u00e9es par des r\u00e9gulateurs europ\u00e9ens, souligne un probl\u00e8me syst\u00e9mique dans la mod\u00e9ration des comptes jeunes<\/strong> sur les r\u00e9seaux sociaux. Meta, malgr\u00e9 ses capacit\u00e9s technologiques avanc\u00e9es pour prot\u00e9ger les mineurs, semble \u00e9galement r\u00e9ticent \u00e0 utiliser pleinement ces outils<\/a>, laissant les enfants vuln\u00e9rables<\/strong> face \u00e0 des contenus potentiellement nocifs.<\/p>\n
Face \u00e0 ces enjeux, des voix \u00e0 s'\u00e9lever pour un encadrement plus strict de l'usage num\u00e9rique chez les jeunes<\/strong>. Emmanuel Macron lui-m\u00eame a \u00e9voqu\u00e9 la possibilit\u00e9 d'imposer des restrictions<\/strong>, voire des interdictions d'acc\u00e8s aux \u00e9crans pour les enfants<\/a>, s'appuyant sur un consensus scientifique pour d\u00e9terminer des r\u00e8gles d'usage saines<\/strong>. Cette initiative fait \u00e9cho \u00e0 des d\u00e9marches similaires envisag\u00e9es \u00e0 l'international, comme en Chine, o\u00f9 l'usage des smartphones pour les enfants pourrait \u00eatre limit\u00e9 \u00e0 deux heures par jour<\/a>.<\/p>\n