L'univers num\u00e9rique, malgr\u00e9 ses avantages ind\u00e9niables, est de plus en plus \u00e9clabouss\u00e9 par des incidents de s\u00e9curit\u00e9 majeurs<\/strong>, exposant les donn\u00e9es personnelles de millions d'individus<\/strong>. Des exemples r\u00e9cents comme la br\u00e8che chez Coronalab, r\u00e9v\u00e9lant les informations de plus de 1,3 million de patients<\/a>, ou la fuite monumentale surnomm\u00e9e “Mother of all Breaches”, touchant pr\u00e8s de 26 milliards de dossiers<\/a>, illustrent la vuln\u00e9rabilit\u00e9 persistante de nos syst\u00e8mes d'information. Ces \u00e9v\u00e9nements mettent en lumi\u00e8re non seulement la facilit\u00e9 avec laquelle les donn\u00e9es peuvent \u00eatre compromises, mais aussi l'ampleur des cons\u00e9quences pour la vie priv\u00e9e et la s\u00e9curit\u00e9 des personnes affect\u00e9es<\/strong>.<\/p>\n
Cette fois, l'incident concerne Viamedis, r\u00e9v\u00e9l\u00e9 d\u00e9but f\u00e9vrier<\/a>, et maintenant Almerys, portant le nombre total d'assur\u00e9s sociaux affect\u00e9s \u00e0 33 millions<\/strong>. Ces fuites, bien que n'exposant pas directement des donn\u00e9es m\u00e9dicales, elles d\u00e9voilent des informations d'\u00e9tat civil et des num\u00e9ros de s\u00e9curit\u00e9 sociale, ouvrant la porte \u00e0 diverses fraudes<\/strong>. Ce contexte alarmant r\u00e9affirme l'urgence d'adopter des mesures de s\u00e9curit\u00e9 renforc\u00e9es pour prot\u00e9ger les donn\u00e9es personnelles, particuli\u00e8rement dans le domaine sensible de la sant\u00e9.<\/p>\n
