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Des ann\u00e9es que plusieurs pays du monde appelaient \u00e0 un encadrement juridique de l'intelligence artificielle<\/strong>. Les \u00c9tats membres de l'Union europ\u00e9enne<\/strong> ne font pas exception, et c'est finalement en d\u00e9cembre 2023 que ces derniers signent un accord “historique”<\/a>, des mots du commissaire au March\u00e9 int\u00e9rieur Thierry Breton. L'AIAct<\/strong>, c'est son nom, est un ensemble de texte visant \u00e0 r\u00e9guler l'utilisation de l'IA<\/strong>, tout en essayant de ne pas imposer de contraintes trop lourdes<\/strong> susceptibles de freiner le d\u00e9veloppement des entreprises du secteur.<\/p>\n
Vendredi 2 f\u00e9vrier 2024, les repr\u00e9sentants des 27 pays de l'UE \u00e9taient r\u00e9unis \u00e0 Bruxelles pour confirmer leur accord final. En th\u00e9orie cela aurait d\u00fb \u00eatre une formalit\u00e9, mais au final, les d\u00e9bats ont \u00e9t\u00e9 mouvement\u00e9s<\/strong>. Plusieurs \u00c9tats membres avaient affirm\u00e9 qu'ils ne voteraient pas en faveur du texte<\/strong> s'il n'\u00e9tait pas retravaill\u00e9.\u00a0 Parmi eux, la France, l'Allemagne, l'Italie ou l'Autriche. Chacun avait ses propres motivations et ont fait savoir quels points ils souhaitaient voir clarifi\u00e9s ou pr\u00e9cis\u00e9s.<\/p>\n