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Souscrire un abonnement en ligne<\/strong> est extr\u00eamement facile. Quelques clics sur les boutons bien en \u00e9vidence, vous entrez vos informations personnelles et de paiement… Voil\u00e0 ! Vous serez d\u00e9sormais d\u00e9bit\u00e9 d'une certaine somme tous les mois. R\u00e9silier<\/strong> ? C'est tout de suite une autre histoire. Souvent, vous ne pouvez pas le faire en ligne. Il faut appeler le service client<\/strong> qui se fera une joie d'essayer de vous retenir, voire, pire, vous dire d'envoyer un courrier par la Poste<\/strong>. Avec les d\u00e9lai et les risques de pertes que cela entra\u00eene. Frustrant.<\/p>\n
Lire aussi – Photoshop : le Generative Fill va devenir payant m\u00eame si vous avez un abonnement, dommage<\/a><\/strong><\/p>\n
Quand Adobe<\/strong>, \u00e0 qui l'on doit la c\u00e9l\u00e8bre suite de logiciels tels que Photoshop<\/strong>, Premiere Pro<\/strong> ou After Effect<\/strong>, est pass\u00e9 d'un mod\u00e8le d'achat unique \u00e0 un abonnement mensuel, il semble \u00eatre tomb\u00e9 dans cet \u00e9cueil. \u00c0 tel point que la proc\u00e9dure de r\u00e9siliation que l'entreprise a mis en place fait l'objet d'une enqu\u00eate<\/strong> de la ph<\/strong> (la FTC). Et \u00e7a ne date pas d'hier : “depuis juin 2022, nous coop\u00e9rons avec [la FTC] en r\u00e9ponse \u00e0 une demande d'enqu\u00eate civile sollicitant des informations sur nos pratiques […] d'annulation d'abonnement […]”, explique Adobe.<\/p>\n