Le Huawei Mate 60 Pro<\/figcaption><\/figure>\n
Le gouvernement am\u00e9ricain<\/strong>, par l'interm\u00e9diaire de la Secr\u00e9taire au Commerce<\/strong> Gina Raimondo, explique que l'avanc\u00e9e technologique de Huawei en mati\u00e8re de puces mobiles<\/strong> est “profond\u00e9ment inqui\u00e9tante”. Pour comprendre ces propos, il faut remonter quelques ann\u00e9es en arri\u00e8re, en 2019 pour \u00eatre pr\u00e9cis. \u00c0 ce moment-l\u00e0, Donald Trump<\/strong> est le pr\u00e9sident des \u00c9tats-Unis. En mai, il signe un d\u00e9cret interdisant aux entreprises de t\u00e9l\u00e9communication am\u00e9ricaines de traiter avec des entit\u00e9s \u00e9trang\u00e8res jug\u00e9es “\u00e0 risque”<\/a>. Aucune n'est nomm\u00e9e, mais le constructeur chinois<\/strong> Huawei est clairement dans le viseur<\/strong>. La firme finit d'ailleurs sur liste noire.<\/p>\n
C'est un coup dur pour Huawei qui ne peut plus compter sur l'importation de composants et de machines afin de fabriquer des smartphones 5G<\/strong>. Les mod\u00e8les sortis par la suite comme la s\u00e9rie des P50<\/a> ou les Mate 50<\/a> embarquent bien une puce Qualcomm<\/strong>, donc am\u00e9ricaine, mais modifi\u00e9e pour ne pas pouvoir capter la 5G<\/strong>. Sachant que Huawei a quand m\u00eame d\u00fb obtenir une autorisation pr\u00e9alable. L'embargo a \u00e9galement abouti \u00e0 la suppression des services Google sur les mobiles de la marque<\/strong>, l'obligeant \u00e0 d\u00e9velopper son propre syst\u00e8me d'exploitation, HarmonyOS<\/a>.<\/p>\n