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Un accord “historique” pour Thierry Breton, commissaire europ\u00e9en pour le march\u00e9 int\u00e9rieur et \u00e0 l'origine d'un ensemble de lois regroup\u00e9es sous le nom d'AIAct<\/strong>. Ces derni\u00e8res ont pour but d'encadrer l'usage de l'intelligence artificielle en Europe<\/strong>. Apr\u00e8s 37 heures d'\u00e2pres n\u00e9gociations, le Parlement europ\u00e9en et les \u00c9tats membres sont tomb\u00e9s d\u2019accord pour ent\u00e9riner le texte<\/strong>, qui devrait s'appliquer en 2025<\/strong>. Il concernera aussi les r\u00e9seaux sociaux<\/strong> et les moteurs de recherche<\/strong>, donc Google<\/strong>, X (Twitter)<\/strong>, Facebook<\/strong> ou encore TikTok<\/strong>.<\/p>\n
Lire aussi – <\/strong>Google veut que l\u2019IA puisse se servir dans les donn\u00e9es sous droits d\u2019auteur par d\u00e9faut<\/strong><\/a><\/p>\n
Cela fait des ann\u00e9es que le Vieux Continent appelle \u00e0 une r\u00e9gulation de l'IA<\/strong>. En France, la CNIL dessinait d\u00e9j\u00e0 les grandes lignes d'un plan \u00e0 cet effet<\/a>, tandis que certains estimaient qu'une loi europ\u00e9enne sur l'IA freinerait l'innovation<\/a>. Ils devront bient\u00f4t faire avec. La n\u00e9cessit\u00e9 d'un cadre l\u00e9gal n'\u00e9tait pourtant plus \u00e0 prouver. M\u00eame le patron d'OpenAI appelait \u00e0 sa mise en place<\/a>.<\/p>\n
Jusqu'\u00e0 pr\u00e9sent, les IA comme ChatGPT<\/a> ou Midjouney<\/a> se servent dans toutes les informations et \u0153uvres sur Internet, peu importe qu'elles soient prot\u00e9g\u00e9es par des droits d'auteur<\/strong>. Une mani\u00e8re de faire qui aboutie \u00e0 de nombreuses attaques en justice de la part des ayants droit<\/a>. Mais l'AIAct insiste d'abord sur d'autres points.<\/p>\n