Cr\u00e9dits : 123RF<\/figcaption><\/figure>\n
Si vous utilisez l'application TikTok<\/strong>, la sc\u00e8ne suivante vous est famili\u00e8re : vous regardez une vid\u00e9o, puis vous descendez un peu sur la page, tombez sur une vid\u00e9o similaire \u00e0 la premi\u00e8re, la lancez, et ainsi de suite jusqu'\u00e0 ce que vous en ayez assez. L'algorithme du r\u00e9seau social est \u00e9tudi\u00e9 pour rep\u00e9rer ce qui vous pla\u00eet,<\/strong> en g\u00e9n\u00e9ral les contenus que vous visionnez, pour ensuite vous en proposer toujours plus<\/strong>. Le but est de vous faire tomber dans la “spirale du scroll sans fin” afin de vous garder le plus longtemps possible, et donc de vous faire voir plus de publicit\u00e9s<\/strong>.<\/p>\n
Ce syst\u00e8me, c'est celui qu'\u00e0 adopt\u00e9 Reels<\/strong> \u00e0 son arriv\u00e9e en 2020 sur Instagram<\/strong>. Meta, la maison-m\u00e8re du r\u00e9seau social, entre autres, n'a pas chercher \u00e0 cacher sa volont\u00e9 de faire comme TikTok, par qui elle se sentait menac\u00e9e. Contrairement \u00e0 Facebook<\/strong> par exemple, les recommandations affich\u00e9es dans Reels ne sont pas des contenus “aim\u00e9s” ou propos\u00e9s par les gens de votre liste d'amis. Ils viennent de n'importe quelle source<\/strong>. Les \u00e9quipes du Wall Street Journal<\/a> sont partis de ce constat pour r\u00e9aliser une exp\u00e9rience. Les r\u00e9sultats sont sans appel.<\/p>\n