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Google<\/strong> g\u00e8re des milliards de donn\u00e9es au quotidien. L'immense majorit\u00e9 ne provient pas de l'entreprise, par exemple les sites affich\u00e9s dans le moteur de recherche, ou les applications mobiles du Play Store<\/strong>. Dans le tas, il y a forc\u00e9ment des \u00e9l\u00e9ments frauduleux ou contraires aux conditions d'utilisation des plateformes. C'est pourquoi Google peut bannir un site de ses r\u00e9sultats de recherche<\/a> ou supprimer des applications du Play Store<\/a> par exemple. Mais la soci\u00e9t\u00e9 peut aussi simplement fermer votre compte, avec les cons\u00e9quences que cela implique.<\/p>\n
Tout commence quand Jennifer Watkins, employ\u00e9e dans le secteur m\u00e9dical en Australie, re\u00e7oit un mail de Google lui disant que sa cha\u00eene YouTube a \u00e9t\u00e9 ferm\u00e9e<\/strong>. Elle trouve \u00e7a un peu bizarre, mais elle n'utilise pas YouTube. Peut-\u00eatre que la suppression survient parce que sa cha\u00eene est inactive, rien de grave. Rapidement, cette m\u00e8re de jumeaux de 7 ans se rend compte qu'il ne s'agit pas que de la plateforme vid\u00e9o. Son compte Google lui-m\u00eame est suspendu<\/strong>, et elle perd donc l'acc\u00e8s \u00e0 tous les services qui y sont associ\u00e9s<\/strong>.<\/p>\n