Cr\u00e9dits : Northvolt<\/figcaption><\/figure>\n
Les voitures \u00e9lectriques<\/strong> sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus facile et rapide \u00e0 recharger, et de moins en moins ch\u00e8res. Parmi les avanc\u00e9es technologiques du secteur, celles qui concernent les batteries<\/strong> sont \u00e0 surveiller de pr\u00e8s. Celle-ci se recharge en 5 minutes seulement<\/a>. Celle-l\u00e0 promet plus d'autonomie et de fiabilit\u00e9, pour moins cher<\/a>. La plupart du temps, il s'agit de produit encore \u00e0 l'\u00e9tat de concept, ou bien r\u00e9serv\u00e9s \u00e0 tel ou tel v\u00e9hicule. En revanche, une technologie pourrait bien r\u00e9volutionner tout le secteur : les batteries au sodium<\/strong>.<\/p>\n
Le principe est simple sur le papier. \u00c0 la diff\u00e9rence des batteries actuelles, un mod\u00e8le sodium-ion ne contient pas de lithium, de cobalt, de nickel ou de graphite<\/strong>. Ces mat\u00e9riaux sont rares et les extraire devient de plus en plus cher. De son c\u00f4t\u00e9, le sel de sodium<\/strong> est un \u00e9l\u00e9ment pr\u00e9sent en grande quantit\u00e9 autour de nous. En fabriquant des batteries avec, on r\u00e9duit fortement les co\u00fbts de production et, m\u00e9caniquement, le prix final de la voiture \u00e9lectrique<\/strong> qui en est \u00e9quip\u00e9e.<\/p>\n