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Dire qu'Internet est devenu indispensable au quotidien de milliards de personnes<\/strong>, c'est un euph\u00e9misme. Sans m\u00eame parler des usages “classiques” que chacun en fait (lire des articles, regarder une s\u00e9rie…), l'\u00e9conomie mondiale<\/strong> d\u00e9pend en grande partie des \u00e9changes d'informations et de donn\u00e9es passant par le Web. Comme tout syst\u00e8me, il conna\u00eet parfois des avaries. Vous en avez forc\u00e9ment connu une ou plusieurs quel que soit votre fournisseur d'acc\u00e8s, m\u00eame si certains tombent plus souvent en panne que d'autres<\/a>.<\/p>\n
En g\u00e9n\u00e9ral, on r\u00e2le, on patiente et, si tout va bien, \u00e7a revient assez vite. \u00c0 un niveau global cependant, cet arr\u00eat brutal des connexions engendre des co\u00fbts dont on n'a pas forc\u00e9ment id\u00e9e<\/strong>. C'est justement ce qu'a voulu savoir atlasVPN<\/a> dans une \u00e9tude. Imaginons qu'Internet s'arr\u00eate partout dans le monde pendant une journ\u00e9e enti\u00e8re<\/strong>. Combien est-ce que cela co\u00fbterait au final ? Les r\u00e9sultats sont bas\u00e9s sur les chiffres de NetBlocks<\/strong>, qui estime l'impact \u00e9conomique d'un tel cas de figure, en combinant l'Internet fixe et mobile.<\/p>\n