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Avec le foisonnement des plates-formes de streaming<\/strong>, difficile pour chacune de se d\u00e9marquer. Surtout quand les prix augmentent r\u00e9guli\u00e8rement. Disney+<\/strong> par exemple mise sur des licences phares comme Star Wars<\/strong> ou Marvel<\/strong>. Si en mati\u00e8re de s\u00e9ries, le catalogue de Netflix est reconnu comme abritant de nombreux succ\u00e8s, le service ne peut pas en dire autant de ses films<\/strong>. Jusqu'\u00e0 pr\u00e9sent, sa strat\u00e9gie est simple : il en faut le plus possible. En 2020, on parle d'un nouveau film par semaine<\/strong>.<\/p>\n
Scott Tuber, \u00e0 la t\u00eate du d\u00e9partement film de Netflix, se souvient : “Nous \u00e9tions un nouveau studio en pleine croissance. […] Alors tu te demandes, \u00ab C'est quoi ton business model ? \u00bb Et pendant un temps c'\u00e9tait juste \u00eatre s\u00fbr qu'on avait assez. On avait besoin de volume”. Plus question de conserver cet \u00e9tat d'esprit d\u00e9sormais. Netflix va produire moins de films<\/strong>, mais s'assurer qu'ils sont le plus qualitatifs possible. Le but est de passer de 50 films annuels \u00e0 25 ou 30 maximum<\/strong>.<\/p>\n